Carpaccio bar-crevettes à l’huile de noisette…

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Le carpaccio est vraiment un plat ultra simple à réaliser, frais et léger, totalement healthy!

Il s’improvise en un rien de temps, et produit toujours un petit effet « happy » sur les tables d’été.

Le bar y tient le rôle principal, et relève le défi avec un talent fou, mais il peut volontiers céder sa place à la dorade, ou au maigre, à vous de choisir en fonction du marché, et de vos goûts.

Appelé loup de mer en méditerranée,  ce poisson s’impose comme l’une des meilleures sources de protéines, car il contient les neuf acides aminés essentiels à notre organisme. Ces protéines jouent un rôle clé dans la formation des enzymes digestives, des hormones et des tissus, comme la peau et les os.

Parmi les acides gras polyinsaturés du bar se trouvent les fameux oméga 3, qui contribuent à la prévention des maladies cardiovasculaires, même s’ils sont présents en proportions bien plus faibles que dans les poissons gras.

Les oméga 3 possèdent des effets anti-inflammatoires, utiles dans le traitement de pathologies comme l’asthme, l’arthrite, le psoriasis et les maladies inflammatoires de l’intestin.

Ils préviennent aussi les troubles de l’humeur et même la dépression.

A cela on ajoute les nombreux bienfaits de l’huile de noisette, dont l’intérêt nutritionnel réside dans sa forte concentration en oméga-9 et 3 et en vitamines A et E, et on obtient un moyen savoureux de se faire du bien …

Il est temps maintenant d’aborder la minute vérité, celle qui m’amène à tordre le cou à une idée reçue, une sorte de pandémie « girls only », qui fait de sérieux ravages à travers la planète : la peur panique du gras !

Oui oui, la même qui conditionne notre petit cerveau de princesse à refuser systématiquement que la moindre larme d’huile ne vienne s’échouer sur nos  carottes râpées ou nos légumes vapeur, la même qui nous pousse, malgré la honte, à retourner illico au serveur ébahi, la salade César que l’on avait commandé  « oups, désolée, j’avais demandé sans vinaigrette, non? » Et  croyez-moi, je connais le sujet par coeur…

Alors, certes, il est vrai que 100g d’huiles végétales nous coûtent la modique somme de 900 calories, mais attendez ne fuyez pas, elles ne nous veulent que du bien,  et puis, entre nous, qui va avaler 100g d’huile, hein?

Savez-vous qu’elles jouent un rôle capital dans la gestion du poids, l’absorption des nutriments, le maintien d’une peau et de cheveux sains, et la régulation de la température du corps ? Et ce n’est pas tout, elles renforcent aussi le système immunitaire, en isolant les organes internes, et en maintenant l’équilibre hormonal. Vous comprenez maintenant pourquoi un régime pauvre en matières grasses, outre le fait de nous faire blaklister socialement, nous fait courir un véritable risque !

Mais sommes-nous vraiment coupables ? Depuis tant d’années, on n’a cessé d’entendre qu’il fallait limiter le gras, mettant dans le même panier, les huiles chauffées, les graisses hydrogénées, les graisses trans, les margarines, et autres beurres salés, au même plan que les huiles de première pression à froid…alors en pensant éviter le paquebot, on a foncé tout droit sur l’iceberg!

Il ne suffit pas d’avoir une alimentation équilibrée et green pour être en bonne santé, il faut impérativement ajouter des huiles végétales pour absorber correctement les vitamines liposolubles, trouvées dans les aliments.

Vous l’aurez donc compris les filles, inutile de  dépenser des fortunes en crèmes et soins, si vous n’hydratez pas votre peau de l’intérieur, vous passerez à coup sûr à côté du pulp effect, parole de phobique du gras repentie 😉

Les matières grasses d’origine végétale ont l’avantage de ne pas contenir de cholestérol, contrairement aux graisses d’origine animale comme le beurre. Elles sont riches en acides gras (oméga-3 et oméga-6) que notre corps ne fabrique pas ; il faut donc aller les chercher dans l’alimentation.

Cependant, sachez qu’utiliser une seule sorte d’huile de manière récurrente est une erreur, il faut impérativement respecter l’équilibre entre les apports en oméga-3 et en oméga-6.

Certaines huiles sont très riches en oméga-6 mais pauvres en oméga-3, et inversement. Les deux types d’oméga ayant des effets différents voire opposés sur l’organisme (les omégas-3 aident à fluidifier le sang, les 6 sont importants pour la coagulation), pour bénéficier de leurs avantages, les apports doivent être équilibrés pour éviter que les effets ne s’annulent .

Petit rappel sur les bienfaits des oméga 3, 6 et 9:

1- OMEGA 3

  • bénéfiques pour la santé cardio-vasculaire, en limitant les troubles du rythme cardiaque
  • contribuent au bon fonctionnement du cerveau et des yeux
  • fluidifient le sang et prévient des thromboses
  • augmentent notre résistance au stress
  • pour le sportif : stimulent les gains de masse musculaire et luttent contre les tendinites

Huiles riches en oméga 3 : Huile de colza, de noix, de lin, de chia, de soja et de germe de blé.

2 – OMÉGA 6

  • protègent le système immunitaire
  • maintiennent le bon état des muqueuses
  • réduisent le mauvais cholestérol et augmente le bon cholestérol

Huiles riches en oméga 6 : Huile de tournesol, de maïs, de noix, de germe de blé.

3 – OMÉGA 9

  • augmentent le bon cholestérol au détriment du mauvais
  • diminuent la résistance à l’insuline en maintenant le taux de sucre dans le sang
  • améliorent la résistance au système immunitaire

Huiles riches en oméga 9 : Huile d’olive, de noisette et d’amande
Les oméga 3 et oméga 6 sont des acides gras que l’organisme ne sait pas produire, et qu’il faudra donc trouver dans l’alimentation pour éviter d’être carencé.

Bref, pour résumer, le bon équilibre entre oméga 3 et 6 est d’1/5ème c’est à dire 1 portion d’oméga 3 pour 5 portions d’oméga 6.

Nous avons tendance à ne pas ingérer assez d’oméga 3, et trop d’oméga 6, et le risque est qu’une consommation en excès d’oméga 6 neutralise les effets des oméga 3.
Donc par principe, il vaut mieux réduire les huiles de tournesol ou d’arachide, riches en oméga 6 et inviter à notre table des huiles plus riches en oméga 3 comme l’huile de colza.

Il est donc recommandé de consommer 3 à 4 cuillères à soupe d’huile par jour réparties entre les deux principaux repas.

Comme il n’existe pas d’huile parfaitement équilibrée, la solution c’est de faire son petit mélange « homemade » :

  • moitié huile d’olive ou de noisette pour le goût,
  • et moitié huile de colza pour les acides gras essentiels (oméga 3 et 6).

Mais les huiles de lin, chanvre, sésame et pépins de courge, sont très intéressantes aussi.

Il est inutile de rappeler que seules sont à privilégier les huiles bio, vierges, extra vierges et de première pression à froid, car n’ayant subi qu’un simple broyage et pressurage à froid, sans aucune transformation chimique, elles ont pu conserver l’ensemble de leurs précieux nutriments.

Ce qu’il me faut pour 4 personnes :

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    • 4 filets de bar
    • quelques crevettes roses cuites
    • 1 citron vert
    • 2 échalotes
    • 1 bouquet de ciboulette
    • 2 cm de gingembre frais
    • 2 cs de tahin (crème de sésame)
    • sel rose
    • piment d’Espelette
    • 4 cs d’huile de noisette
    • 2 graines de cardamome
    • quelques radis
    • quelques noisettes pour le crunchy

C’est parti !

  • Je commence par couper les filets déjà levés par mon gentil poissonnier, en petits cubes d’environ 1/2 cm, je veille bien à enlever toutes les arêtes.
  • je décortique et coupe les crevettes dans la longueur.
  • j’émince les échalotes, et lave la ciboulette que je vais ciseler.
  • j’ajoute le jus d’un citron vert, la ciboulette, le sel, le gingembre frais râpé, le piment, la cardamome et 4 càs d’huile de noisette.

Savez-vous que la cardamome est très utilisée dans la médecine ayurvédique? Elle est reconnue pour son efficacité dans le traitement des troubles digestifs, mais aussi pour ses propriétés anti-inflammatoires et analgésiques , et contre les symptômes dépressifs. Moi j’adore sont petit goût frais et subtil.

  • Je n’oublie pas le tahin pour apporter de l’onctuosité, je mélange et garde au frais dans un récipient couvert, le temps que les saveurs se diffusent et s’entremêlent. Je n’hésite pas à goûter pour rectifier éventuellement l’assaisonnement, c’est indispensable!
  • Au moment de servir il ne me reste plus qu’à dresser à l’assiette, à l’aide de cercles en inox.

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  • Je tapisse le cercle de crevettes taillées en longueur, puis dépose la préparation à base de dés de bar, en tassant bien et je finis par une crevette sur le dessus.
  • J’ôte avec précaution le cercle et parsème de quelques éclats de noisette torréfiée.

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Une petite farandole de radis rose accompagnera volontiers ce carpaccio, ainsi que quelques fleurs comestibles.

Et voilà un plat savoureux et rapide à préparer, que l’on peut agrémenter d’un carpaccio de courgettes (du potager en ce qui me concerne) pour un repas healthy,  crunchy et complet !

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Bon appétit les Princesses !

 

Panna cotta vegan aux fruits rouges…

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La panna cotta, littéralement « crème cuite » en Italien, est un dessert bien sympathique qui fait l’unanimité, car elle peut être déclinée à l’infini, mais aussi et surtout car elle est super easy à préparer.

Il en existe plusieurs versions, mais celle proposée ici sera vegan, donc à base de laits végétaux, et sans gélatine car vous le savez sûrement, la gélatine est constituée de carcasses de porcs et bovins. On peut obtenir quasiment le même résultat avec l’agar-agar, alors on ne va pas s’en priver, on se fait un petit thé et on s’y met?

L’agar-agar c’est quoi exactement ?

A première vue, une mystérieuse poudre blanche, n’y voyez aucun rapprochement avec toute substance illicite, non, en réalité il s’agit d’un mucilage obtenu à partir de plusieurs algues rouges, ce qui veut dire que cette matière va se mettre à gonfler au contact de l’eau pour produire quelque chose proche de la gélatine.

Jusque là rien de bien transcendant me direz-vous, mais savez-vous que les Japonaises en sont raides-dingues, car cette petite algue magique possède un apport calorique proche du 0, elle favorise la digestion, et possède une action éliminatrice qui n’a pas son pareil dans notre alimentation occidentale. A chaque printemps les magazines Nippons rappellent les bienfaits du « Kantien » ou aliment des Dieux, et conseillent à leurs lectrices d’en glisser un peu partout (soupes, bol de thé vert…) pour enrichir leur alimentation afin de purifier leur organisme et de mincir sans avoir la sensation de faim. Mais l’agar-agar possède d’autres vertus intéressantes, il capture les métaux lourds et les poisons chimiques qui se trouvent un peu partout dans ce que nous mangeons. Il est riche en minéraux (calcium, phosphore, fer).

En ce qui concerne le dosage, comptez 2g soit un sachet, ou 1cc pour 1/2 litre de liquide.

Comment l’utiliser ?

Il suffit de délayer la poudre contenue dans les petits sachets de 2g, dans un liquide froid, pour le porter ensuite à ébullition et l’ôter rapidement du feu avant de le verser dans un récipient qui contiendra la recette achevée.

L’avantage de la panna cotta vegan, c’est de pouvoir l’adapter à ses envies, on pourra plus ou moins la sucrer, et de ne pas se charger en lipides, puisqu’elle ne contient aucune  matière grasse animale.

Ce qu’il me faut :

Pour la crème :

  • 50 cl de lait de noisettes, coco ou amande
  • 2 g d’agar agar (1 sachet ou 1 cc)
  • 2 cs de sucre de fleur de coco, ou de sucre de canne intégral, ou de miel
  • de la vanille en poudre

Pour le coulis :

  • 30 g de sucre de fleur de coco ou de canne
  • 200 g de fraises

C’est parti !

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Je prépare d’abord la crème :

• Dans une casserole, je verse le sucre et 30 cl de lait de coco, je fais chauffer à feu moyen en remuant. Je verse ensuite l’agar-agar en pluie sur le lait de coco chaud et poursuis la cuisson pendant encore 2 minutes. Hors du feu j’ajoute le reste de lait de coco et j’homogénéise bien la préparation, à l’aide d’un fouet.

• Il ne me reste plus qu’à répartir dans des coupelles ou des verrines et laisser refroidir avant de réserver au frais (au moins 3 heures le temps que les crèmes prennent)

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Puis le coulis :

  • Mixer les fraises (ou framboises) et le sucre, passer au tamis pour enlever les petits grains, et nappez vos petites merveilles.
  • Vous pouvez déposer la couche de coulis sur le fond et verser la crème par dessus ou faire l’inverse 😉

On n’oublie pas la touche finale : le topping 😉 

  • fruits frais coupés
  • fruits secs (cranberries, baies de goji, mulberries..)
  • crunchy muesli
  • noix, noisettes, pistaches amandes
  • éclats de fèves de cacao cru ou pépites de chocolat…
  • copeaux de noix de coco…

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La panna cotta peut être réalisée sur ce même principe avec tous les laits végétaux de votre choix, simplement si vous utilisez des préparations déjà sucrées comme chocolat, vanille ou matcha, n’ajoutez pas de sucre supplémentaire 😉

Et les coulis peuvent être réalisés avec tous les fruits de saison.

A vous de jouer les princesses, et faites-nous partager vos expériences 😉

 

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Mes Falafels aux haricots azukis…

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Désormais, manger des légumes ne suffit plus et des études ont prouvé qu’il était impératif d’ajouter à notre routine bien-être, des protéines végétales, sous forme de légumes secs.

Savez-vous que 100 g de légumineuses apportent autant de protéines que 100 g de viande ou de poisson, les graisses saturées en moins ?
Mais, ces protéines ne sont pas toujours idéalement équilibrées puisqu’elles manquent souvent d’acides aminés soufrés comme la méthionine. C’est la raison pour laquelle, il est fortement conseillé de les associer aux céréales, qui, elles, contiennent ces fameux acides aminés.

La famille « légumineuse » compte essentiellement les fèves, les haricots, les lentilles et la dernière pépite, celle qui fait fureur chez les nippons : l’azuki.

L’azuki quézaquo ?

C’est une petite légumineuse originaire d’Asie de l’Est plus précisément de la région de l’Himalaya, très populaire au Japon et qui ne manque pas d’attraits puisqu’il est riche en :

  • fibres alimentaires, aidant ainsi à la régulation de l’activité des récepteurs d’insuline dans le corps pour faire en sorte que les niveaux de sucre dans le sang restent normaux.
  • molybdène cet oligo-élément jugé plutôt rare, joue un rôle crucial dans la désintoxication du foie. Même une toute petite portion d’azukis en fournit 100% des apports quotidiens recommandés.
  • vitamines et minéraux tels que l’acide folique, le potassium, le zinc, le cuivre et le magnésium.

Il facilite le processus digestif, a des propriétés nettoyantes et aide à minimiser les problèmes rénaux, il stimule également la croissance. Très diurétique, il contribue à réduire le taux de cholestérol et possède un pouvoir revitalisant.

Fortement conseillé aux états dépressifs, ou stressés ainsi qu’aux personnes anémiées.

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Les falafels sont une spécialité culinaire originaire du levant et très répandue au Proche-Orient, constitués de boulettes de pois chiches ou de fèves, frites à l’huile.

J’ai eu envie de revisiter la traditionnelle recette en remplaçant la friture par une cuisson au four, et les pois chiches par l’azuki.

Si vous êtes curieuses de voir le résultat les filles, ce post est pour vous ! Go go go !

Tout d’abord, si vous n’avez jamais été présenté à ce drôle de petit haricot, vous ne saurez peut-être pas, par quel bout le cuisiner ?

Et bien c’est très simple, il suffit de l’enfermer dans un petit bocal, de remplir d’eau, et de l’oublier au frais toute la nuit. Cela aura pour effet de diminuer le temps de cuisson, et de le rendre plus digeste.

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Le lendemain matin, après l’avoir rincé à nouveau et égoutté, on le porte à ébullition, dans une grande quantité d’eau, une première fois, puis une deuxième en le laissant cuire à feu doux pendant environ 1 heure.

Ensuite la recette n’est pas vraiment compliquée il suffit d’un blender en état de marche et d’un peu d’improvisation!

Ce qu’il me faut :

  • 300 g d’azukis bio préalablement trempés une nuit et cuits
  • 2 échalotes
  • 1 gousse d’ail dégermée
  • 1 cs de tahini
  • 2 cs de compote de pommes non sucrée
  • 2 c. à café de cumin en poudre
  • 1 c. à café de coriandre en poudre
  • 1 pincée de piment d’Espelette (ou pas)
  • 1 petit bouquet de coriandre et de menthe 
  • 4 cs de graines de sésame
  • 3 cs d’huile d’olive
  • 1 pincée de sel
  • chapelure (sans gluten)
  • un yaourt de soja (ou bulgare) pour la sauce

C’est parti !

  1. Préchauffez votre four à 180 degrés (Thermostat 6)

  2. Dans votre blender, mettez tous les ingrédients sauf les graines de sésame et quelques feuilles de menthe que vous réserverez pour la sauce, et mixez. Vous devez obtenir une pâte qui commence à s’agglomérer.

  3. Ajouter ensuite les graines de sésame et formez des boulettes de la taille d’une petite noix avec les mains, puis roulez-les dans de la chapelure, et déposez-les sur la plaque du four recouverte de papier cuisson. Vous pouvez planter une tige en bois pour en faire de jolies brochettes…ou pas, c’est comme vous voulez 😉

  4. Enfournez à mi-hauteur pendant une vingtaine de minutes environ en retournant à mi-cuisson, les falafels doivent être bien dorés.

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  5. Vous pouvez servir ces délicieux falafels au four vegan et sans gluten avec une sauce improvisée à base de yaourt de soja ou bulgare,  battu additionné de sel, de poivre, d’un filet de citron et de menthe fraiche ciselée.

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    La compote va apporter de l’onctuosité à vos jolie petites boulettes et il ne faut pas hésiter à forcer sur les épices et les aromates, c’est vraiment ce qui va donner la saveur. La texture et la couleur des falafels ressemble vraiment à s’y méprendre à de la viande hachée! IMG_5205.jpg

    Les falafels trouveront aussi leur place dans un buddha bowl ainsi ils seront judicieusement associés aux céréales, ce qui décuplera leur nombreuses vertus 😉

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    Pratique pour un plateau repas pris sur le pouce !

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    Moi j’ai résolument adopté la falafelmania, et vous ?