Ma rencontre avec Isabelle, la « dompteuse de petits singes agiles »…

Joyeuse, ouverte, lumineuse et inspirante, Isabelle, est la meilleure amie que l’on rêve toutes d’avoir à ses côtés.

Son écoute chaleureuse et bienveillante, son sourire, sa joie de vivre très contagieuse sont à contre courant de l’image que l’on peut se faire d’une psychologue, analyste transactionnelle et systématicienne de surcroit !

C’est en tous cas la remarque que je me suis faite, la première fois que je l’ai rencontrée, alors qu’elle animait le stage de méditation en pleine conscience MBCT (Mindfulness Based Cognitive Therapy), auquel je participais.

Peut-être est-ce son attirance pour le Bouddhisme qui l’a initiée à cette voie de la connaissance, unique et quasi sacrée, ce langage qui parle à l’âme, cette aisance à ressentir, comprendre et aider, ou bien sa longue pratique du Hatha Yoga, qu’elle a désormais choisi d’enseigner, car, dit-elle « c’est un état indissociable de la méditation ».

Sa soif d’apprendre est sans limite, ainsi que son besoin viscéral de partager, communiquer,  accorder une place de choix aux liens humains quels qu’ils soient.

Son champ d’action est vaste. Elle apporte son aide aussi bien dans le périmètre de l’entreprise, pour solutionner les problèmes de mal être au travail, qu’au prés des  personnes anxieuses, déprimées ou épuisées à qui elle apporte une aide personnalisée grâce aux outils de la pleine conscience, et du yoga.

« Ce qui compte pour moi, c’est d’accompagner chaque personne dans sa quête existentielle. A un moment de la vie se pose la question de la valeur de son existence, et la méditation aide à vivre ces questions, à aller dans la profondeur de l’être. Cela confère à cette pratique une dimension ultime, car en vivant le moment présent, au lieu de s’angoisser, de ruminer, de s’inquiéter, on est dans « l’être » au lieu d’être dans le « faire », et cela change totalement la donne.

Me sentir vivante et en joie, tel est pour moi le plus beau cadeau que m’aient offert le yoga et la méditation. Et j’ai envie de transmettre cela à toutes les personnes que je suis. »

 

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1°/ Qui est Isabelle ?

Psychologue, diplômée en 1987, hypnothérapeute, elle s’est également formée à diverses pratiques psychocorporelles, énergétiques et artistiques (Matrix Reimprinting, EFT- Emotional Freedom Technic, clown-théâtre, psychologie sacrée…).

Elle découvre le bouddhisme et la méditation en 1995.

Depuis, elle effectue régulièrement des retraites, et suit des enseignements spirituels  (émotions, fin de vie, pensées…) notamment à Dhagpo Kagyu Ling en Dordogne.

Pratiquante assidue de hatha-yoga depuis plus de 20 ans, elle est actuellement en cours de certification à l’ENPY (Ecole nationale des Professeurs de Yoga), et enseigne depuis 2015.

Isabelle se nourrit tant de moments de silence en pleine nature, que d’instants légers à faire le clown, pour la bonne cause. Gourmande, passionnée, son mantra, « apprendre encore et toujours », acquérir des savoirs pour s’enrichir intellectuellement et émotionnellement, afin de les transmettre, les partager.

Auteure de plusieurs livres dont notamment « Histoire personnelle, destinée professionnelle ».

https://www.amazon.fr/Histoire-personnelle-destinée-professionnelle-adolescence/

ou « dé stresse », des ouvrages qui permettent, notamment, de ne plus vivre le mal-être au travail comme une fatalité.

2°/ Qu’est-ce que la méditation de pleine conscience ?

La pleine conscience, est un état pendant lequel l’attention est ancrée sur l’instant présent de façon calme, lucide et objective. La méditation permet de développer cet état de pleine conscience, en habituant l’esprit à se libérer du flot de pensées pour se concentrer sur le moment présent.

Méditer, c’est entraîner l’esprit singe. Dompter notre mental  qui saute d’idée en idée, qui ne tient pas en place, qui s’accroche à une pensée comme un singe s’agrippe à une branche et qui est toujours en mouvement. Comment faire pour que ce singe devienne sage et attentif?

Quand on débute la méditation, on imagine parfois qu’il est question de faire le vide, de ne penser à rien et de ne rien ressentir, bref de viser la relaxation. Ce n’est pas du tout ça, bien au contraire, il s’agit d’être attentif à tout ce qui se passe dans le mental, le corps  les émotions…Ne pas accompagner, poser un regard curieux et bienveillant sur tout ce qui traverse notre ciel mental, mais sans suivre quoi que ce soit, sans s’arrêter. Regarder avec curiosité et bienveillance, comme s’il s’agissait de petits nuages dans un beau ciel d’été. Laisser exister sans commenter.
– sans filtre, on accepte ce qui vient.
– sans jugement, on ne décide pas si c’est bien ou mal.
– sans attente, on ne cherche rien de précis.

Méditer, c’est donc être présent à ce qui est ici et maintenant.

Mingyur Rinpoche, un maître et moine bouddhiste parle du Monkey Mind : l’Esprit Singe qui nous distrait en nous alimentant de pensées intruses et de sensations parasites.

La MBCT (Mindfulness Based Cognitive Therapy) ou Thérapie cognitive basée sur la pleine conscience pour laquelle j’ai obtenu mon accréditation, est un protocole de 8 séances de 2 heures chacune, qui a largement fait ses preuves en matière de prévention des rechutes dépressives et qui maintenant a été élargi aux addictions en tous genres, aux  troubles du comportement alimentaire, à l’anxiété en général.

Il s’agit d’une thérapie de groupe basée sur le programme MBSR (Mindfulness Based Stress reduction program) http://www.meditation-mbsr.fr/protocole-mbsr/grandes-lignes-du-programme-mbsr/, mise au point par Jon Kabat Zinn pour soulager le stress et la douleur, et qui intègre en plus, des éléments de thérapie cognitive et comportementale adaptés au traitement de la dépression.

Les psychologues Zindel Segal, John Teasdale et Mark williams, ont montré qu’il existait une réactivité cognitive accrue chez les personnes dépressives, c’est à dire qu’un état émotionnel triste par exemple, augmentait les pensées négatives, d’où des épisodes de rechute de plus en plus fréquents. Ils se sont donc intéressés à la méditation telle qu’elle était enseignée dans la MBSR  comme moyen de se distancier de ses pensées afin de stopper le processus de rumination.

C’est ainsi qu’est née la MBCT où l’instructeur enseigne progressivement ce type de méditation au participant, et lui apprend à reconnaître une rumination dépressive, et à utiliser la pleine conscience au quotidien comme « baromètre » de son humeur et de ses pensées afin d’inverser la vapeur, et d’adopter des stratégies positives fermant l’accès à la dépression ou à l’anxiété.

Il faut savoir que les ruminations sont liées à la non acceptation des états émotionnels douloureux. Du coup on lutte de toutes ses forces pour repousser ces émotions car elles nous font peur et que l’on ne sait pas comment les gérer, et à force d’évitement, ce n’est pas la guérison mais l’épuisement et le  sentiment d’échec qui s’installent plaçant  fatalement à nouveau le sujet dans la dépression.

La méditation agit comme un sas de décontamination des pensées, les dépolluant de leur charge émotionnelle toxique par le biais de l’acceptation.

Vous trouverez sur le site ACCESS MBCT, la liste internationale des professionnels enseignant la méditation de pleine conscience sous sa forme MBCT.

3°/ Pourquoi avoir choisi de l’enseigner ?

Ayant reçu une éducation catholique, j’ai très tôt apprécié le calme et la paix qui se dégageaient de ces instants de recueillement. Dans la plupart des traditions religieuses, les deux notions se confondent. Méditation et prière consistent à plonger en soi pour mieux se déployer à l’extérieur. Il s’agit de s’ancrer dans l’ici et le maintenant, via ses sens, ses émotions, puis de se relier à plus grand que soi. La vocation religieuse a été supprimée pour ne conserver que la pratique méditative de manière à pouvoir lui donner un spectre d’action plus ouvert.

Lors de mes différents séjours à Daghpo j’ai pu suivre des retraites qui m’ont conforté dans mon choix de poursuivre dans la voie de la méditation.

Les bouddhistes la considère comme « la troisième forme de sagesse », l’enseigner s’est posé pour moi, comme une évidence, car tout comme le yoga, la méditation est elle aussi une pratique qui fait partie de ma vie.

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4°/ Quels bienfaits peut-on en retirer ?

La pleine conscience semble aujourd’hui se présenter comme une alternative aux thérapies traditionnelles dans la lutte contre les troubles de l’humeur, l’anxiété, ou autres maux contemporains.

Grâce à l’IRM, il est possible de voir très précisément des changements dans les zones du cerveau gérant la douleur ou le stress. On constate des améliorations chez des patients souffrant de douleurs chroniques. L’objectif est de mettre la souffrance à sa juste place, de comprendre qu’elle n’est pas obligée d’ envahir tout notre espace intérieur.

La vie fait que nous aurons toujours à faire face à des contrariétés ou à des émotions négatives, l’idée c’est de ne pas les rejeter, ne pas se fermer, mais plutôt tenter de les observer, pour comprendre comment réagir face à elles et pouvoir mieux les accepter.

Mais que les choses soient claires, accepter ne veut pas dire se résigner, c’est juste choisir les combats que l’on peut et veut mener et décider de composer avec certaines de nos émotions, même si celles-ci provoquent de l’inconfort.

Il nous arrive très fréquemment de nous identifier à nos émotions, on devient « notre colère » ou « notre tristesse », la méditation nous permet de prendre une distance par rapport à la charge émotionnelle des pensées négatives qui nous traversent.

Plusieurs études scientifiques ont démontré les bénéfices, tant sur le plan psychique que physique, d’une pratique méditative assidue :

  • réduction du stress et de l’anxiété
  • augmentation de l’immunité
  • amélioration du sommeil
  • diminution des migraines
  • protection du coeur et des artères
  • réduction du vieillissement des cellules
  • apaisement
  • diminution des maladies chroniques et psychosomatiques…

 

5°/ As-tu une routine « Healthy » ? 

Concernant l’alimentation, j’essaie d’adopter une alimentation vitalité en limitant le  gluten, et faisant la part belle aux végétaux, mais cela ne m’empêche pas de m’octroyer quelques petits écarts comme une énorme pizza lorsque j’en ai envie…

J’accorde d’avantage d’importance à mes ressentis, à ma santé mentale et ne manque jamais de rester dans la gratitude, la bienveillance envers moi-même et envers mon corps.

Et puis mon tapis de yoga n’est jamais très loin, je n’hésite pas à le dérouler quand le besoin de m’ancrer entre les forces du ciel et de la terre se fait ressentir, cela me ressource en énergie positive;-) et me permet d’aller mieux.

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6°/ Quelles sont les personnes qui t’inspirent ? 

Wayne Dyer a eu un impact sur mon développement personnel. Auteur de plusieurs ouvrages à succès, tel que « Le pouvoir de l’intention », il met notamment l’accent sur la puissance de la méditation.

Je retiendrai cette phrase en lien direct avec la méditation :

« Vous ne pouvez pas toujours contrôler ce qui se passe à l’extérieur mais vous pouvez toujours contrôler ce qui se passe à l’intérieur. » Wayne Dyer.

Il y a aussi Deepak Chopra, ce médecin Indien, penseur et promoteur d’un développement personnel teinté de spiritualité, connu dans le monde entier…

“ Le passé est une histoire, le futur un mystère. Le moment présent est un don. C’est pourquoi ce moment est appelé présent.  Deepak Chopra

Et enfin Christiane Singer, cette romancière française, adepte des sagesses orientales.

« L’amour n’est pas un sentiment. C’est la substance même de la création. » Christiane Singer

Tout ce qui vise à cultiver sa vie spirituelle et à faire de l’espace en soi pour la bonté m’inspire.

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7°/ As-tu quelques conseils pour lutter contre le stress ?

Accueillir ce qui se passe en nous plutôt que de lutter contre.

Se battre contre une réalité immuable est une perte d’énergie inutile, et nocive. C’est seulement après avoir accepté les choses que l’on pourra  tourner la page sans souffrir.

Ouvrir son esprit à de nouvelles possibilités, et même si son  environnement et sa vie ne sont pas comme on le souhaiterait, ne jamais renoncer à l’espoir d’un futur meilleur, en s’installant dans le présent.

Et pour les moments de stress intense j’ai mon « kit de survie » composé de plusieurs espaces de respiration consciente, cela m’aide à calmer le mental.

Je fais aussi très régulièrement, une sorte de mise au point sur mes besoins réels, pour pouvoir, dans la mesure du possible, me les accorder. Des choses simples comme une balade en forêt, ou au bord de l’océan, suffisent parfois à nous recharger en énergie positive.

Se faire du bien, voilà un concept qui fonctionne à tous les coups 😉

 

Mon ressenti d’apprentie méditante :

Comme beaucoup, j’avais énormément lu sur le sujet , Christophe André, Frédéric Rosenfeld, et connaissais sur le bout des doigts les bienfaits issus d’une pratique méditative régulière.

Oui mais voilà, il me manquait le déclic. Cette petite impulsion qui me ferait m’extirper de mes occupations quotidiennes, pour accepter d’offrir sans rien attendre en retour, une poignée de minutes de mon précieux temps à la pratique méditative.

M’installer, le dos droit sur mon zafù (coussin de méditation), les jambes croisées pour ne rien faire d’autre que de fermer les yeux et me rendre présente à ce qui se passerait en moi…

Rien que le concept me paraissait périlleux. Comment rester concentrée sur sa  respiration alors que tant d’idées vous agitent le bocal ?

Etre dans la non-action me faisait peur, j’allais forcément m’ennuyer ou m’endormir…voire pire, me relever brusquement pour poursuivre une idée géniale qui germerait subitement en moi.

De toute évidence, il me fallait être encadrée, rassurée, accompagnée, et tout comme le solfège ouvre la voie vers l’apprentissage de la musique, le corps et l’esprit nécessitent un rituel régulier et codifié pour accéder progressivement à la pratique méditative de pleine conscience.

Isabelle et le groupe, à travers leur expérience et leur belle énergie positive m’ont permis de franchir le pas.

L’espace de huit semaines nous avons toutes, plus ou moins joyeusement, fait une croix sur notre grasse matinée dominicale, pour nous laisser guider en toute confiance par Isabelle.

Nous avons médité longuement, assises, allongées, marché en pleine conscience, mais aussi échangé sans jugement. Aucun. Beaucoup ri, parfois pleuré, greloté sous nos couvertures en polaire, bu du thé, beaucoup de thé, passé avec succès la fameuse épreuve du « grain de raisin », écouté, ressenti, accueilli.

Certaines jours, nos avancées furent vécues comme de formidables victoires, tandis qu’à d’autres séances il nous fallu accepter nos difficultés comme des encouragements à continuer à s’approprier la méthode. Nous eûmes à pratiquer chez nous, quotidiennement, parfois sous l’oeil incrédule, de notre entourage.

S’entraîner encore et encore, pour que l’acquis devienne inné…

Fermer nos yeux pour mieux voir, écouter de longues minutes durant le son du silence, stabiliser notre attention autour de notre souffle pour élargir l’espace de notre conscience, vibrer au son des bols tibétains.

Tricoter des heures durant et à l’unisson, les mailles d’un formidable outil de précision, qui désormais apaiserait notre mental, soulagerait nos douleurs physiques, psychiques et émotionnelles, ouvrirait une voie vers la connaissance de nous-même en posant de nouveaux schémas de pensée.

La méditation est un voyage intérieur, qui nous engage dans l’exploration d’une contrée inconnue, parfois source d’imprévus, mais qui malgré tout favorise la découverte et l’enrichissement de soi. Certains horizons peuvent se révéler trop caillouteux, épineux ou arides, pour s’y engager seul, d’où l’importance d’être accompagné, par un guide confirmé. D’autres avancées pourront provoquer de violents éboulements, séismes émotionnels, de sédiments que l’on croyait pourtant calcifiés …

Mais qu’importe. Ces découvertes ne sont jamais que la plus belle, la plus authentique partie de nous -même, qu’il nous est offert de rencontrer et d’accueillir avec bienveillance.

Mille mercis à Elisabeth, Catherine, Fabienne, Irène, Christine, Angélique, et aux deux Isabelle, pour avoir fait de ce voyage, un oasis, un moment  émouvant, joyeux et inspirant et à Isabelle Méténier pour avoir pris la tête de la cordée, avec brio, humour, patience et générosité.

L’apprentissage de la méditation de pleine conscience est une aventure qui ne laisse pas indifférent, et je vous invite vraiment à tenter l’expérience…

Isabelle propose des cycles de formation sur 8 semaines, ainsi que des cours de méditation guidée, n’hésitez pas à la contacter pour tous renseignements.

Isabelle Méténier
Tél : 06-48-93-16-55

Ma séance de « wheel yoga » avec Katja…

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Chaque samedi matin, j’ai la chance de dérouler mon tapis, aux côté de Katja, la plus bienveillante des yoginis.

https://healthyandcrunchy.com/2017/05/20/katja-orsega-la-yogini-bienveillante/

Elle anime depuis quelques années, des cours de Hatha yoga dynamique et de Vinyasa, mais ce qui a changé depuis novembre, c’est qu’elle possède désormais son propre studio.

Un lieu épuré où chaque tapis trouve sa place et où les belles énergies de chacun  se mêlent pour créer une synergie propice à la détente et au lâcher prise.

Le yoga de Katja a cela de différent que certaines pratiquantes n’hésitent pas à traverser tout Bordeaux pour y participer…

Et ce n’est donc pas un hasard, si la session est vécue comme un privilège, un moment hors du temps, une parenthèse de bien-être, qui rythme nos  semaines…

Katja n’est pas comme certaines yoginis en mal de reconnaissance, qui cultivent un ego surdimensionné. Non, elle n’est pas faîte de ce bois là…

D’ailleurs, comme elle a « beaucoup de mal avec les compliments » je me garderai bien de vous dire qu’elle fait l’unanimité, que ce soit sur le tapis, ou à l’extérieur, qu’elle est talentueuse et inspirante, attentive au bien-être de chacun, bref elle est ce que l’on appelle une belle personne …

Peu de temps avant Noël, elle nous avait parlé de son intention de se former au « yoga des roues », nous laissant un peu perplexe sur le sujet , il faut bien l’avouer…

Et puis un beau matin, nous avons fait connaissance avec le fameux petit cercle. Pour être honnête, la magie n’opère pas dés le premier regard, le coup de foudre n’est pas automatique, et il n’est pas rare qu’au début, on l’envisage d’avantage comme un « caillou dans la chaussure » que comme une  amie qui nous veut du bien, si vous voyez ce que je veux dire…

Mais heureusement, ce sentiment ne dure pas. Au fil de la pratique, on fini par s’habituer à sa présence, voire même à la plébisciter…

Complice de notre routine, la roue vient accentuer les postures, stimuler nos acquis, ancrer nos apprentissages, nous obligeant parfois à dépasser nos peurs, à déstabiliser nos équilibres, bref à s’ouvrir, s’étirer, se libérer, se débarrasser du superflu pour gagner en essentiel…

Créé en 2014,  par Dov Vargas et Raquel Vamos, des yogis modernes, qui ont eu l’idée de concevoir un accessoire circulaire qu’ils ont nommé « Dharma Yoga Wheel« , on la retrouve aussi dans certains cours de fitness ainsi que durant les séances de Pilates.

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https://www.dharmayogawheel.com

Utilisé aux États-Unis depuis 2015, la petite roue débarque en France, pour le plus grand plaisir des yogis débutants et aguerris. Cet accessoire permet essentiellement de travailler sur les étirements, les flexions et d’améliorer les postures inversées.

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  • Katja, quelle a été ta première rencontre avec la « roue » ?

Partant d’une envie de diversité, et après avoir découvert la roue chez Pierre Gulondo (http://www.atelierduyoga.fr) qui enseigne le yoga depuis plus de 30 ans et chez qui je m’entraine régulièrement, j’ai découvert cet accessoire qu’il proposait notamment pour la chandelle ainsi que pour les extension du dos.

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L’idée a fait son chemin, et comme j’avais envie d’apporter une nouveauté à mon cours, pour la rentrée de septembre, j’ai donc décidé d’acheter les roues.

A ce moment là je n’ai pas pensé plus loin, je voulais juste avoir un outil pour la chandelle et les extensions. Puis les semaines passant, je me suis dit qu’il était dommage de ne pas les utiliser pour d’autres postures, donc j’ai commencé à faire des recherches sur le net, et me suis rendue compte qu’on pouvait l’utiliser à l’infini, c’est à ce moment précis qu’il m’a paru intéressant de me former.

Mes recherches m’ont porté d’abord en France, puis en Suisse, sans grand résultat, et tout à fait par hasard, je suis tombée sur cet atelier de 3 jours à Hambourg, à l’école « power yoga germany » (https://www.poweryogagermany.de).

  • La « yoga wheel » c’est quoi exactement ?

C’est un accessoire pour yoga, fitness ou même massage, de forme circulaire, qui ressemble littéralement à une roue.

Elle est réalisée en matière ABS, un plastique très résistant, et le dessus est recouvert de mousse épaisse pour le confort.

Elle peut être utilisée aussi bien par les débutants que par les yogis aguerris. En soutenant le corps dans le mouvement elle le guide vers la pose la plus correcte, la plus aboutie, en toute sécurité. Elle rend également possible la pratique de postures plus avancées.

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Je trouve que la roue s’intègre dans la pratique comme un outil ce qui permet une  approche différente pour une même postures (avec et sans la roue).

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J’insiste sur le fait qu’il ne s’agit absolument pas d’un yoga ré-inventé. Les postures restent les mêmes à la base, la roue intervient comme une béquille, un support, pour sublimer la posture, l’envisager d’un autre point de vue, la corser, ou tout simplement la stabiliser en apportant un point d’équilibre, un ancrage.

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Tantôt elle facilitera le geste, tantôt elle l’ intensifiera.

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Et puis il faut dire aussi que la roue apporte une touche ludique, surtout au début lorsqu’il faut se familiariser avec ce drôle de petit engin, y caser ses deux pieds pour tenter l’équilibre ou y poser sa tête au beau milieu de nulle part, croyez-moi, ce n’est pas si évident et il faut savoir faire preuve d’humour et d’humilité.

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On peut créer des séances entières avec la roue, mais on peut aussi l’intégrer de façon ponctuelle et pour des postures spécifiques, c’est cette deuxième option que j’ai retenue pour mes cours.

  • pourquoi avoir choisi de l’enseigner?

Vu que pour certaines postures la roue est envisagée comme un outil qui amène un plus, j’ai choisi de l’enseigner de manière à enrichir les enseignements que je propose, pour  apporter une nouvelle dynamique.

Mais mon but n’est pas de remplacer la pratique régulière sans roue par une pratique uniquement avec la roue. Encore une fois, l’intérêt est de s’en servir spécifiquement et encore davantage dans le Hatha yoga.

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Pour des approches fluides comme le Vinyasa yoga, la roue peut créer une interruption lors de l’enchainement des postures, casser la concentration, ce qui n’est pas forcement souhaitable, c’est pour cela que je ne la fait intervenir qu’à la fin de la séance.

  • quels sont ses bienfaits ?

Personnellement je suis convaincue que la roue aide de façon efficace et rapide à mobiliser la colonne vertébrale, à travailler l’ouverture de la cage thoracique et à dénouer blocages et tensions en facilitant le relâchement de la chaine musculaire et des fascias.

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L’idée n’est pas d’aller plus loin grâce à elle, ou de faire des acrobaties particulières mais de sentir ce soutien qui rassure et permet d’éprouver un  lâcher prise en expansion.

Le fait de pouvoir s’installer plus sereinement et plus longtemps dans certaines postures favorise un travail en profondeur du corps ainsi qu’un véritable abandon plus restauratif.

La roue permet un étirement du corps tout entier, elle développe la souplesse du dos, libère les épaules et assouplit le cou pour soulager les tensions accumulées ainsi que les courbatures. Elle propose également une aide au stretching de l’abdomen et des muscles fléchisseurs des hanches, effectue un massage ferme et profond de la colonne vertébrale sur toute sa longueur et puis surtout elle aide à gagner en confiance, donc quelque part elle contribue à diminuer le stress.

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A mon avis, elle accentue de manière significative, la perception que nous avons de notre corps dans la mesure où elle nous oblige en plus à gérer « un corps étranger »…

  • quelle est la posture que tu préfères en yoga des roues et pourquoi?

J’avoue ne pas avoir de posture préférée avec la roue, mais il y a des postures qui ont  plus de résonance avec et d’autres moins. Utiliser la roue juste pour l’utiliser ce n’est pas ce que je recherche.

J’apprécie beaucoup les extensions du dos sur la roue, pour leurs bienfaits, un moment vraiment délicieux. Elle me permet aussi de faire un « handstand », c’est à dire un équilibre sur les mains dans l’espace, c’est une sensation incroyable…

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La roue est aussi quelque part le symbole de l’infini, pas début, pas de fin…. Je trouve cette allégorie assez pertinente pour la pratique du yoga.

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D’ailleurs, ce n’est pas un hasard, si les enseignements de Bouddha, connus sous le nom de «Dharma», sont assimilés à une roue qui se déplace d’un pays à l’autre en fonction des conditions changeantes et des inclinaisons karmiques des personnes. Les formes externes de présentation du bouddhisme peuvent changer selon les cultures et les sociétés, mais leur authenticité essentielle est assurée par la continuation d’une lignée ininterrompue de pratiquants.

On dit que les enseignements de Bouddha sont comme « une roue précieuse » parce que, partout où ils se répandent, ils influent positivement sur l’esprit des personnes qui les mettent en pratique.

« Anahata » est  le chakra du cœur, siège de la générosité, du pardon et de l’empathie, il se situe symboliquement au centre de la poitrine où se loge l’amour que l’on porte aux autres mais aussi à soi-même.
Equilibrer ce chakra, c’est cultiver la bienveillance et s’épanouir dans son rapport aux autres et à soi-même.

Pour ma part, j’aime l’idée que cette petite roue puisse nous aider à ouvrir notre coeur et qu’il n’appartienne ensuite qu’à nous de savoir exporter ses bienfaits au delà du tapis…

Si l’expérience vous tente, n’hésitez pas à contacter Katja, pour un cours d’essai :

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Katja Orsega

06 89 95 46 61

202 Avenue Pasteur, 33600 Pessac

hathayogadynamique@gmail.com

http://www.hatha-yoga-bordeaux.com

 

Crédit photos : Lisa Berrocal

Un grand merci à Katja pour m’avoir autorisée à « perturber » son cours avec tant de bienveillance, ainsi qu’à mes voisines de tapis pour leur patience, leur talent et leur belle énergie positive 😉

Ma rencontre avec Sonia la naturopathe « so healthy »…

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J’ai rencontré Sonia, alors qu’elle animait un atelier de naturopathie, comme elle a coutume de le faire à Bordeaux.

Son approche m’a paru claire et précise et j’ai été frappée par sa belle énergie ainsi que son enthousiasme à faire connaître et partager sa passion.

Il faut dire que Sonia a le don de rendre intelligible ce qui ne l’est pas, de captiver son auditoire par le choix de thèmes au centre de nos préoccupations.

Son discours est juste, léger et bienveillant.

Nous ramener sur le chemin du mieux être, en faisant de nous les garants de notre propre santé, voilà le but que s’est tracé celle qui encore quelques années en arrière « s’intoxiquait » comme elle le dit, sans vraiment réaliser l’impact que produisait le tabac et une alimentation déraisonné sur son propre équilibre.

Depuis sa prise de conscience, sa vie a basculé, et c’est ce message positif qu’elle partage désormais au quotidien, avec ceux qui ont la chance de croiser sa route.

Pas de jugement ni de pseudo leçon de morale. Non. Juste les conseils avisés d’une « amie » qui vous veut du bien…

Et ce n’est pas un hasard, si son activité de naturopathe déborde joliment sur un blog, épuré et trendy, qui affiche d’entrée la couleur « so healthy », (https://sohealthy-blog.fr) dans lequel elle nous fait partager ses infos, astuces, routines, coups de coeurs, belles adresses, ou développe des sujets de société tous en lien avec ce qui est au centre de ses préoccupations, notre bien-être.

Belle et dynamique, Sonia est une jeune femme nature et bien dans ses Stan Smith, épanouie, souriante et qui dégage une bonne humeur communicative, bref, je parie que vous allez l’adorer!

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  • Qui est Sonia ?

Une fille de 43 ans qui après avoir passé une vingtaine d’années dans la création publicitaire a ressenti le besoin de donner un peu plus de sens à sa vie professionnelle en se tournant vers l’humain. Après un long questionnement introspectif, le choix de la naturopathie s’est naturellement imposé à elle. Elle a alors entrepris une solide formation, et la voilà prête aujourd’hui à partager son savoir.

  • Peux-tu nous expliquer en quelques mots ce qu’est la naturopathie ?

La naturopathie est une approche globale « de terrain », ce qui signifie que le consultant est interrogé sur ses antécédents personnels et familiaux, ses habitudes de vie et notamment alimentaires, sur le fonctionnement de l’ensemble de ses systèmes et pas uniquement sur les symptômes qui ont pu constituer le motif principal de la consultation.

L’individu est envisagé d’un point de vue holistique, c’est à dire dans sa globalité physique, énergétique, émotionnelle et mentale.

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Le dialogue occupe donc une place prépondérante, afin d’établir un bilan de vitalité qui permettra ensuite au naturopathe de choisir le type de cure à proposer à son consultant (drainage, détoxification, revitalisation…) afin de l’accompagner dans sa quête du mieux-être .

L’essence même de la naturopathie est d’agir en amont de la maladie, en renforçant la santé, l’énergie vitale et les forces d’auto-régénération de l’organisme.

Finalement on peut dire que le naturopathe n’est qu’un « éducateur » qui en fournissant les bons conseils, et en expliquant les raisons du mal-être, va amener le consultant à prendre conscience lui-même des changements à apporter.

Il faut savoir que la naturopathie s’adresse tant à des personnes en bonne santé et désireuses de le rester, en installant durablement une bonne hygiène de vie, qu’à des individus déstabilisés par des troubles fonctionnels chroniques, soucieux de revenir à l’équilibre par des moyens naturels.

Bien évidemment il n’est pas question de substituer la naturopathie à la médecine allopathique, mais plutôt de la compléter, de l’optimiser.

  • Pourquoi avoir choisi la Naturopathie ?

Parce qu’ après un long travail de réflexion, la dimension humaine, la volonté de « soigner », la nécessité de faire du bien s’est imposée. Et comme l’alimentation a toujours été l’une de mes grandes préoccupations, le métier de naturopathe est devenu une évidence.

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  • As-tu une routine « Healthy » ?

Depuis quelques années j’ai adopté une routine bien-être qui fait vraiment la différence, des petites choses simples à intégrer au quotidien, comme :

  • 1 petit jus vert tout les matins  (1 branche de kale, quelques feuilles d’épinards, une rondelle de gingembre, une rondelle de curcuma, plusieurs branches de persil, 1 branche de céleri, 1/2 pomme rouge, 1 giclée de citron) pour une immunité optimale et une vitalité maximale ! Plutôt appréciable en ce début d’hiver, non?

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  • 30 mn de méditation tous les soirs (même si depuis quelques temps je suis moins assidue). De nombreuses études montrent que la méditation améliore l’humeur et le bien-être psychologique, diminue le stress, rend plus créatif, améliore notre santé cardiovasculaire, ainsi que notre immunité…
  • 3 sorties running par semaine, l’exercice au quotidien est primordial pour se sentir en pleine forme, notre société étant de plus en plus sédentaire, il est prouvé que l’activé physique favorisait un meilleur sommeil, une bonne gestion du poids, une humeur plus joyeuse…
  • et pour finir, 1 pschitt d’eau florale à la fleur d’oranger sur le visage avant d’aller me coucher, cela détend tellement 🙂 et puis la fleur d’oranger possède des vertus calmantes, adoucissantes, régénérantes, elle prend soin des peaux sèches et fatiguées, comme de celles délicates ou irritées. Chacune d’entre nous peut y trouver son compte !
  • Quelles sont les personnes qui t’inspirent ?

Oulala tellement de personnes… Mes parents, mes filles, mes amis, mon homme biensûr 🙂

  • En quoi la Naturopathie a-t-elle influencé ton style de vie ?

J’ai éliminé tellement de produits toxiques de ma vie depuis que je me suis intéressée à la naturopathie, que l’influence est énorme. Mais surtout j’ai compris que l’on pouvait choisir. Choisir de s’intoxiquer ou bien de participer à son bien être. C’est fascinant de comprendre que l’on peut être acteur de sa santé, non ? Quelle puissance avons nous !

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  • As-tu des conseils forme pour affronter l’hiver sans y laisser sa bonne humeur ?

Pour préserver son immunité, lutter contre le froid et la déshydratation de la peau, je vous propose de :

  • Faire une cure de vitamine D (800 UI/jour) d’ octobre à mars lorsque la lumière décline, car la vitamine D intervient dans l’absorption du calcium et du phosphore par les intestins, ainsi que dans leur réabsorption par les reins. Elle influence plus de 200 gènes, ce qui expliquerait son importance potentielle dans de nombreuses maladies…
  • Faire une cure d’échinacéa (échinaforce de Vogel) pour lutter efficacement contre les maux de l’hiver (grippe, infection des voies respiratoires, et de la sphère ORL…) https://www.onatera.com/marque-avogel
  • Préserver son sommeil (un naturopathe peut vous y aider)
  • Manger bio autant que possible pour faciliter la tâche de notre organisme dans son travail d’élimination des toxines
  • Commencer chaque repas par des crudités, car elles vont créer dans l’estomac une situation idéale pour accueillir les aliments qui vont suivre. Les vitamines, sels minéraux, oligo-éléments et enzymes des légumes vont se lier aux enzymes digestives et en augmenter les effets, la digestion n’en sera que facilitée.
  • Pensez aussi aux jus de légumes pression à froid, chargés de nutriments et d’enzymes qui travaillent en combinaison pour un organisme en meilleure santé. Un seul verre par jour, permet de renforcer le système immunitaire, d’avoir une meilleure énergie naturelle, des muscles et une peau en meilleure santé, et probablement le plus important, une sensation générale de bien-être. Vous pouvez soit les presser vous même si vous avez la chance de posséder un extracteur de jus, soit les commander tout prêts sur https://www.yumi.fr avec le code sohealthy, 1 bouteille vous sera offerte!

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  • Faire de l’exercice physique 3 fois par semaine
  • Boire des tisanes à base de thym (antiviral) et/ou de romarin (détoxifiant) pour se réchauffer et s’hydrater.

En ce début d’année, après les agapes des fêtes de Noël, la tendance est à la « détox » peux-tu nous expliquer en quoi elle consiste exactement?

La détox consiste à mettre son système digestif au repos afin de concentrer toute notre vitalité sur les différents systèmes d’élimination : principalement les reins, le foie, les intestins, la peau. On appelle cela  » l’émonctorisme » en naturopathie.

De plus la détox nous permet non seulement de nettoyer notre organisme des toxines exogènes, c’est à dire celles qui sont produites hors du corps, dans l’environnement extérieur, telles que la pollution, les pesticides, les conservateurs,  les additifs alimentaires, les produits ménagers, les médicaments, certains aliments, mais aussi des toxines endogènes c’est à dire formées à l’intérieur du corps, principalement dans l’intestin, en provoquant une auto-intoxication intestinale, source de fermentations et putréfactions excessives, dues à une alimentation trop riche et déséquilibrée.

Lorsque l’on envisage une cure détox, il s’opère une véritable prise de conscience, un recentrage sur nos vraies sensations de faim et satiété, un changement dans notre corps et notre tête.

Mais que l’on choisisse la mono diète, c’est à dire la consommation d’un seul aliment pendant une courte durée, la pomme étant la plus sollicitée, ou le jeûne, il est préférable de ne pas vivre cette expérience seule, mais accompagnée d’un thérapeute, car elle peut comporter certains risques si elle est mal pratiquée, ou prolongée sur une durée trop importante …

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Si vous voulez en savoir plus sur le sujet, pourquoi ne pas assister à l’atelier spécial « cures détox » animé par Sonia le jeudi 11 janvier de 12H45 à 13h45, à Bordeaux, 47 rue Huguerie?

L’occasion vous sera donnée de faire connaissance avec elle, et de lui poser toutes vos questions…

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Et puis si par la suite vous voulez tout savoir sur celui que l’on nomme le « deuxième cerveau », n’hésitez pas à vous inscrire, à l’atelier sur le ventre, qui comportera à la fois une approche naturopathique développée par Sonia et un cours de yoga proposé par Marie Loste dont j’avais partagé la très belle vidéo (https://healthyandcrunchy.com/2017/01/18/__trashed/
Rendez-vous donc dimanche 21 janvier de 10h à 12h30 au studio Combes, 5 rue Louis Combes à Bordeaux.
Toutes les infos des ateliers se trouvent sur la page FB de Sonia   https://www.facebook.com/bysohealthy

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Et puis sachez qu’en dehors des ateliers, Sonia peut vous recevoir en consultation privée, pour établir un bilan de vitalité. Elle saura, à coup sûr vous accorder une écoute attentive et  efficace pour améliorer votre quotidien grâce à ses conseils pleins de bon sens 😉

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Crédit photo  http://www.nicolasseurot.com (portrait de Sonia).